la condition ouvrière au XIXe s. : base documentaire et …
Cette tâche il ne la remplit pourtant qu'inondé de sueur et dévoré d'une soif ardente, et, ce qui est le plus triste à dire, en abrégeant la durée de sa vie. L'ouvrier en a la conscience et il persiste : l'industrie est pleine de ces héroïsmes obscurs" (L. Reybaud, Rapport sur la condition des ouvriers en fer : Le Creusot, 1867.
